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Journal d'une vie ... presque parfaite !
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25 mars 2013

La lundiphobie

Qui ne connait pas la lundiphobie ?

Cette journée ou l'expression "retour en enfer " est de rigeur.

Passer l'étape,et pas des moindre de l'épreuve de la sonnerie du reveil ou dès que la première note de musique résonne des envies de meutres nous viennent à l'idée.

Alors que notre lit bien aimé,notre amour de jeunesse nous rappel déjà à lui en chantant ..."Ne me quitte pas ! Moi je t'offrairais des heures de bonheur venu d'un pays ou on ne travaillent pas"

Viens ensuite l'heure du trajet entre notre petit cocon et notre lieu de travail tant désiré.

Lorsqu'il fait beau le chemin pour s'y rendre pourrais rester agréable, mais en température de -10°C,de grèves de transport,de chutes de météorites,des traversés de chats noirs ou de croisée d'e petis amis ou de rencontre de notre belle mère, le chemin ressemble plus aux douze travaux d'hercule !

Après toutes les péripheties de notre route, nous arrivons tant bien de mal à l'heure mais surtouten VIE au bureau.

Le hall d'entrée ressemble d'un coup au couloir de la mort et nous ne savons si nous arriverons en vie au bout de ce tunnel.

Oh une lumière !!!! J'arrive au Paradis ?? Non c'est juste le néon du bureau de l'acceuil.

Le temps que le PC s'allume on a largement le temps de prendre un café,de repasser le tas de fringues que l'on a en retard, de se refaire la dernière saison de Desperate Housewives et de finir par un tour du monde en Won Wolk.

Mais le meilleur arrive ...

les retrouvailles entre collègues ! Les collègues tous identiques dans chaque entreprise.

Nous avons généralement un dépréssif qui ressemble à un rouleau de scotch qui insiste chaque semaine pour faire des sorties avec toi par peur de tourner en rond chez lui tout seul.

On retrouvent également des orgeilleux qui ressemblent à des stabilos, toujours a surlignés leurs qualités indipensablent au bon fonctionnement de la boite.

Et les malicieux qui ressemblent à des agrapheuses, toujours partis on ne sais ou et qu'on ne trouve jamais au moment ou on a besoin d'eux.

Evidement cette journée est interminable et nous avons l'impression de faire les 35 heures en une seule journée.

Arrive enfin la fin de la journée et nous avons réussis à survivre ... ouf !

Un peu de repos, bien mérité !

Tous les lundi ressemblent à ces journées ... mais comme dirais Robert Lassus :"Je travaille à être heureux : c'est le plus beau des métiers"

 

Ses

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